• De toi à moi

     

    Dis moi qu’est ce que tu vois ?

    -Tu veux savoir la vérité ?

    -pourquoi pas ...

    je regarde autour de moi, il fait beau le temps est bon, les gens continue a vivre pendant que moi je meurs, les autres disparaissent , je disparaît, comment suis je arrivé jusque là ?

    -et bien...c’est la merde, je sourit, je rigole même, et toi tu fais la même chose, des larmes te montent aux yeux.

    -Ouais tu as grave raison, putain comment c’est possible de finir comme ça ?

    -je ne sais pas… la vie un long fleuve tranquille...la blague.

    -Dis moi toi comment on en est arrivé là.

    tu me regarde, le visage sombre, le sourire ironique a la bouche. Tu me dévisage, en silence ton sourire disparaît, tu ouvre la bouche puis la referme pour étouffer ses larmes.

    -non va y tu le raconte mieux .

    -Déjà je suis née, un sourire échappe, ouais je suis née , et tout a commencé...Pourquoi j’ai été prise dans une guerre qui ne concerné pas ?

    -On tu l’as dis non ? « feras de grande chose » on tu l’avais dit… Tu n’as peut être pas sauvé le monde mais tu as déjà vécu des choses énorme et fait preuve de force.

    -Preuve de forces ! Regarde mes poignet regarde mes putains de cicatrices !

    -Regarde toi ! Tu est toujours en vie !

    -Tu sais que c’est dure, hein ?

    -Oui...je le sais, je te vois tous les jours, j’ai lu les messages que tu m’as écrit, je sais …

    -J’ai rien demandé à personne, je n’ai pas choisis de naître, mais on me l’a reproché.

    -Pourquoi ?

    -Pourquoi ? c’est la question que je me suis posée pendant des années, je ne suis qu’une bâtarde au père inexistant, une hybride, je suis différente et la différence fait peur.On essaye toujours de fondre la différence dans la masse avant que nous prenions connaissance de nos capacité. J’ai tellement pris dans ma gueule...J’étais une des cibles, petite je leur ai servit de prétexte pour qu’ils puisent descendre ma mère...Ma mère ne correspondait pas à leur attente, eux qui tenaient tellement à leur image… Une putain de fausse image que ma mère n’a pas suivit, et elle en a baver pour ça. Et moi je ne suis que la poursuite de cette branche mal vue. Ils ont utilisé mes paroles contre moi, contre elles en prônant la confiance…J’étais naïve...Haha, ouais trop. Et pendant ce temps la il n’ont pas vue ce que moi je vivait à extérieure… Ce monde que je ne vois pas pareil, tous ses gens qui suivent en masse des dirigeants qui nous formalisent en masse...C’est absurde ! La civilisation ce coule par elle même… Dans ce monde froid, et sans ambition politiquement correcte, des manipulateur, des chasseur et des proies fond surface… la vie c’est transformé en survival game. Si tu veux survivre tu dois avoir des crocs en acier.

    -Tu en as toi.

    -J’en ai pas toujours eu tu le sais, pendant on adolescence dans le noir , dans l’angoisse, et noyer dans la colère j’étais une proie, une proie trop facile...c’est de la d’ailleurs que mes premières cicatrices ont émergé.

    -Oui je m’en rappel ta journée comme toute les autres à été désastreuse, cet famille, c ‘est fille trop maquiller te poussant a chaque fois tout prés de tes limites, ce harcèlement que tu cacher…

    -Grâce à ces fille j’ai commencé a développer une aversion pour moi même, je me haïssais… et ce soir là c’est le premier soir ou j’ai commencé a endurer pleinement la douleur. Seule . J’ai étais stupide de le faire mais j’ai préféré me faire mal ailleurs que de garder cette putain de douleur épineuse dans mon cœur.J’en pouvais plus.

    -C’est vrais que tu es très forte pour accumuler les choses, mais pas bonne pour éviter que cela explose…

    -Ouais ce soir là ça à débordé, et cette lame sur ma peaux … elle m’a calmé, quand tu dis ça aux gens qui ne connaissent pas ce que c’est ils te regardent de haut, comme une merde ,en disant « mais c’est pas bien t’es suicidaire ou quoi ? » et la ils te méprise, prennent peur , te fuit comme de la peste.

    -Comment ils osent juger ! Tu n’es pas suicidaire j’ai jamais vue quelqu’un autant tenir a la vie !C’est impossible, tu as tellement combattue pour cette vie !

    -Ouais mais les gens de nos jours sont stupide, ils comprendrons pas que tu ne l’as pas fait dans le but de mourir mais dans le but de différer la douleur, car une douleur émotionnel ressentis au cœur peu equivaloire une réelle blessure infliger physiquement. Ce soir la comme pour les autres cicatrices je n’ai pas chercher à atteindre les veines, ni à flirter avec la mort. Juste a différer cette putain de douleur. Évidement ça n’a pas arrangé les choses , les gens en les voyant on vue une brèches émotionnel et la famille aussi...J’étais toujours une proie, ma famille et ces putes étaient mes prédateurs, pour faire cours jai fini par tous le prendre pour des prédateurs. J’ai donc perpétuellement arboré mon regard dès plus sombre, dès plus tranchant, c’était ma seule arme… Mais celle la aussi me faisait défaut.comme j’ai pu détester le collège...Quand c’était pas les pots de peintures qui me harcelé c’était les mecs et leur super jeu de "je te touche les seins les fesses en montant les escaliers". Bref la joie de vivre était pas avec moi.

    -Et les profs ils on rien fait ?

    -Non juste quelques parole sans plus… Ils faisaient tellement rien que c’est moi qui ai fait quelque chose.

    -Oh oui le mec que tu a tarter devant toute la classe en cours, tu rigoles et je poursuis

    -Ouais carrément, un sourire m’échappe, c’était en cours d’histoire et jai du m’asseoir à coté d’un mec qui à trop pris ses aises . En gros j’étais en train de suivre les cours et lui et ses potes ont commencé à rigoler , il s ‘est rapproché de moi et a commencer a vouloir mettre son bras autour de mes épaules, comme ça tranquille en plein milieux de tout, Je lui ai dis d’arrêter mais c’est pas grave lui il rigoler bien avec ces putains de potes!alors il a recommencer j’ai fini par lui décoller une baffe, et pas une petite devant le prof qui déjà ne disait rien et qui la à encore rien dit, j’étais une des 3 élèves les plus sage, et évidemment ça a surpris tout le monde , le prof a continué son cours comme si de rien était. Ce jour la les mecs on salué ma performance, il faut en arrivé là pour que l'on te laisse un peu tranquille…

    -C’est...c’est scandaleux…

    -Non chère amie, c’est normal de nos jours …Mais je pense que c’est a partir de ce moment là que quelque chose a bougé en moi.Avec la famille c’était de pire en pire… J’ai commencé a ne plus convenir a cette belle image qu’il fallait entretenir. J’ai fini à l’hôpital(pour me retrouver, me reposer,et essayer de renouer le contacte perdu et chaotique avec ma mère dans un lieu neutre), et la encore j’ai eu le droits a des « tu a voulu te tuer ? » ...Quand j’entends ça , alors que ces personnes ne me connaissent pas, j’avais juste envie de le buter ! Franchement, d’où tu viens me parler ?! Tu viens juste pour te délecter de ma souffrance connasse!C’étaient es rapaces.. a guetter la moindre faiblesse, a attaquer sur tout les bord pour e faire chavirer !Limite si elles te sortent pas « à c’est dommage » ! Nous vivons dans une société cruel, tu dois être comme ci comme ça, mais trop comme cela, ni pas assez comme ceci sinon tu vas te faire traquer. Tu vas te faire descendre.Et moi je suis bien descendu...Oh putain ouais, j’ai touché le fond du fond, je pensais pas à ce moment là que c’était possible de descendre plus bas mais je me suis trompée.

    ­-Tu sais j’ai toujours ces messages, tu t’en rappel ?

    -Non pas de tous tu sais que la vie et remplie et que je change d’émotion toute les minutes.

    -Je t’en lirait en relation avec te périodes ça peut-être instructif sur ton parcours de proie a chasseuse.

    -Oui ça peut être drôle aussi de façon ironique évidemment.

     

     

     

    -A SUIVRE- semaine prochaine


  • Commentaires

    1
    solanum tuberosum
    Jeudi 4 Janvier 2018 à 21:33

    Curieux d'en savoir plus

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